Nouveaux sites

Lock’O Frameries, préparation du terrain

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L’entreprise a racheté le site Doosan, laissé à l’abandon depuis la fermeture de l’usine. En 2014, le groupe coréen Doosan annonçait son intention de fermer son site de Frameries et de licencier dans la foulée ses quelque 300 travailleurs. Près de quatre ans plus tard, le traumatisme n’est pas enfoui mais des éclaircies sont bel et bien visibles. Le site s’apprête en effet à connaître une nouvelle vie grâce à la société Lock’O.

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LOCK'O FRAMERIES

“Dès que les formalités administratives seront en place, nous verrons comment exploiter et développer le site, en introduisant notamment des demandes de permis pour transformer les bâtiments existants. Il y a beaucoup de choses à faire, la nature a repris ses droits. Il faudra débroussailler, nettoyer, mettre de l’éclairage… Bref, donner un peu de vie à ce site”, commente Frédérik Nenadic, CEO de Lock’O.

Le CEO se veut donc rassurant quant aux inquiétudes qui pourraient entourer son projet. “Il est clair que nous n’allons pas agir n’importe comment. Nous tenons compte de l’environnement du site. Il est également évident que notre activité, en comparaison avec celle qui était exercée auparavant, n’entraînera pas les mêmes nuisances. Un commerce qui attire quotidiennement des centaines de clients génère probablement bien plus de trafic qu’une entreprise comme la nôtre.” Si le rachat du site réjouit bien plus qu’il ne divise, certaines craintes étaient en effet émises quant à la quiétude des riverains, notamment par rapport à la mobilité.

Spécialisée dans le stockage et la location de boxes sécurisés, l’entreprise wallonne a racheté le site. La signature de l’acte devrait intervenir dans le courant du mois d’octobre, après quoi la société pourra commencer un nettoyage en profondeur du site, laissé à l’abandon depuis l’arrêt des activités de Doosan.

Ce dernier sait que le travail ne se fera pas du jour au lendemain mais ne s’effraie pas devant l’ampleur de la tâche. “Notre objectif, c’est de répondre aux besoins ponctuels, temporaires ou permanents des entreprises locales et nationales qui désireraient avoir un pied à terre dans la région, qui ont besoin d’espaces de stockage. Nous continuerons à travailler dans cette optique, comme nous le faisons déjà sur une quinzaine de sites en Wallonie.”

La DH.be du 17 Août 2016

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